Tu as enclenché ta trajectoire. Tu as construit ton offre, vendu tes accompagnements, délivré tes premières transformations.
Tu t’es exposé·e malgré le doute. Tu as fait tes preuves : des clients servis, des résultats tangibles, une reconnaissance qui s’installe.
Tu es bien plus qu’un projet en construction.Et pourtant…Il reste un ressenti que tu gardes pour toi.
Une tension sourde, difficile à nommer, mais bien présente :
« Je n’avance plus comme avant. Je ne me sens plus tiré vers le haut. Je répète. Je stabilise. Mais je ne m’élève plus. »
Ce n’est pas de la fatigue. Ce n’est pas une crise de sens. Ce n’est pas un coup de mou passager. C’est un plafond. Invisible. Mais bien réel. Un plafond psychologique, identitaire, inconscient.
Celui que rencontrent tous ceux qui ont assez grandi pour devenir trop à l’étroit dans leur propre version d’eux-mêmes.
C’est comme le homard. Le homard, sa carapace ne grandit jamais, ce qui l’oblige régulièrement au fur et à mesure qu’il grandit à se sentir à l’étroit, sous pression et inconfortable.
- Alors, il va se mettre sous un rocher à l’abri des prédateurs pour briser sa propre carapace et en produire une nouvelle pour pouvoir continuer de grandir.
- Il répète ce processus encore et encore à chacune des étapes de sa vie”
- Si le homard avait eu un médecin, il lui aurait probablement prescrit du valium ou tout autre médicament similaire pour lui permettre de se sentir mieux, plus détendue dans sa carapace. Mais ça l'empêchait de grandir
Voici le plan :
- Le plafond de verre : la limite entre ce que tu veux… et ce que tu t’autorises à devenir.
- Souvent, tu n’es pas conscient de ce plafond de verre.
- Comment briser ce plafond de verre avec le protocole r.e.b.r.a.i.n.
Le plafond de verre : la limite entre ce que tu veux… et ce que tu t’autorises à devenir.
On entend souvent parler de ce plafond de verre. Mais peu disent ce qui se cache vraiment derrière.
Bon… c’est pas à toi que je vais apprendre ce qu’est un plafond de verre. Tu sais déjà que ce n’est ni un mythe, ni un concept de débutant. Mais ce que tu ignores peut-être encore, c’est à quel point il est tissé dans ton identité.
Ce n’est pas une simple barrière. C'est une frontière psychique, construite au fil de ton histoire, de ton éducation, de tes loyautés invisibles.
Et si tu ne la dépasses pas, ce n’est pas parce que tu n’en es pas capable. C'est parce qu’une partie de toi — jusque-là — ne s’y est pas encore autorisée. Tu es encore attaché·e — inconsciemment — à une version de toi qui n’est plus adaptée à ce que tu veux construire.
Et cette version agit comme un seuil de tolérance invisible. Et c’est exactement là où je veux t’emmener : dans l’endroit où tu reprends ce pouvoir.

Souvent,tu n’es pas conscient de ce plafond de verre.
Il y a ce qu’on appelle : l’homéostasie identitaire.
Le cerveau humain n’est pas conçu pour ton expansion. Il est conçu pour ta cohérence interne.
Dès que tu entreprends une action, prononces des mots ou incarnes une posture qui dévie de l’image que tu as de toi-même, ton système nerveux déclenche des signaux d’alerte.
“Tu n’es pas ce genre de personne.”
“Tu n’as pas besoin de faire autant de vagues.”
“Ce n’est pas le bon moment.”
“Et si tu devenais arrogant ?”
“Et si ça cassait tout ce que tu as construit ?”
Tu y crois. Sincèrement.
Mais derrière ces raisonnements se cachent souvent :
- La peur d’être visible à un nouveau niveau.
- La peur de ne plus être aimé si tu réussis davantage.
- La peur de trahir une loyauté invisible (familiale, sociale, culturelle).
- La peur de perdre l’image de “celui qui aide”, en devenant “celui qui dirige”.
Ces voix-là ne sont pas des freins logiques. Ce sont des défenses identitaires.
C’est ce qu’on appelle La résistance immunitaire au changement : C’est une forme d’autoprotection inconsciente qui s’active dès que la transformation menace ton identité actuelle.
Plus simplement : tu dis vouloir changer.
Mais ta structure intérieure est programmée pour survivre, pas pour t’élever. Tu ne freines pas parce que tu es perdu. Tu freines parce que tu ne te reconnais pas encore dans ce que tu veux devenir.

Prenons un exemple d’un entrepreneur, on va dire qu’il s’appelle Roger. Coach depuis six ans. De CA à quatre chiffres. Réputation solide. Mais il stagne.
Chaque fois qu’il essaie de se positionner plus haut (offre premium, réduction du nombre de clients, prise de parole stratégique), il revient à un mode “humble, accessible, proche du terrain”.
Pourquoi ? Parce qu’il a grandi dans une famille où l’argent = arrogance. Et où la visibilité = danger. Il n’a pas un problème de business. Il a une loyauté archaïque à un clan qui n’a jamais rêvé aussi grand que lui.
Tu vois ce que je veux dire. Peut-être que chez toi, ce n’est pas l’argent. C’est la peur de l’élitisme. Ou de la solitude. Ou de ne plus te reconnaître dans ce que tu as bâti. Mais le principe est le même : tu restes coincé entre ce que tu veux créer et ce que tu crois devoir incarner pour être “toi-même”.
C’est typiquement ce qu’on entraîne avec les membres PLAYER dans Le Yann’s Club.
Écoute ça si tu hésites encore à devenir membre PLAYER.